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I swear, i never tell anybody (Aksel)

Sujet: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Sam 19 Sep - 17:26
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I swear! I never tell anybody

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Pourquoi j'avais décidé d'aller au cinéma? Parce que je m'emmerdais simplement. J'aurais du revoir ma décision et me faire un Netflix and chill tiens! Pourquoi me direz-vous? Parce que je ne serait à trembler de peur collé contre la porte de mon appart tiens. Mais bon commençons du début. Ma journée à l'école venait de terminé et c'est en arrivant chez-moi que je me dis que sortir de mes quatre murs serait une idée géniale. Il y avait un cinéma pas trop loin alors je pourrais y aller à pied facilement non? Bon le retour je pourrais le faire en taxi sans problème. Mais après réflexion je préférais prendre ma voiture. Comment connaître cette ville si je ne conduisais pas un peu? Pui je n'avais qu'à mettre le GPS sur mon téléphone retrouver ma route. Pas compliqué non?

C'est donc après un repas, une bonne douche chaude et avoir mis jeans, chandail et basket que j'attrapai ma veste et direction le cinéma. Bon en tant que tel c'était un peu dans le bas de la ville. Je regardai donc un film bien cucul les pralines, un film comme je les aimais en me goinfrant de popcorn et de soda. Bon en tant que tel un film romantique quand on a le coeur en miettes c'est pas spécialement la meilleure chose, mais c'était mon remède à moi. donc une fois le film terminé je regagnai ma voiture pour retourner chez-moi. Je sorti donc mon téléphone et tentai de l'allumer et… rien.

- Non… pas vrai. Quelle conne!

Téléphone à plat je le balançai au fond de mon sac en soupirant et tapotant mon volant. J'allais quand même pas rester ici non? Allez ma chérie! Tu vas retrouver ton chemin sans problème. Moi et mon idée de ne pas avoir apporter mon chargeur dans ma voiture aussi! Je mis donc le contact et roulai dans les rues certaine que j'avais le bon chemin mais plus je roulais moins j'en étais certaine. J'aurais dû être plus insistante envers Lyam pour éviter les trous perdus de cette ville. Je ne pouvais pas descendre ici et en mode "Hé! vous pouvez me dire où est East Strip?" Pas avec ce que je voyais se promener sur les trottoirs quand même! Mais d'un autre côté est-ce que j'avais le choix? Je me garai donc et verrouillai ma voiture et cherchait une bonne âme voulant m'aider. Pas grand chose, juste une question, une simple question et je pars. Puis ça devait se voir que j'étais pas le genre de fille à traîner dans ce coin non? Des voix, j'entendais des voix et me dirigeai vers celle-ci. Bon c'était des voix masculines alors pas vraiment la meilleure idées mais qui sait? Ils seraient peut-être gentils, du moins je l'espérais fort du fond de mes tripes.

J'avançais donc lentement, prudemment même. Au moins si j'avais à détaler comme un lapin personne ne m'aurait entendu. J'allais ouvrir la bouche pour en interpeller un mais les mots moururent dans ma gorge. Un des hommes avait un flignue entre les mains. C'était quoi exactement comme flingue me demandez-vous? Un PUTIN de gros flingue et pas des jouets visiblement. Mes jambes semblaient être des bâton de bois planté dans le trottoir et refusait de bouger alors que mon cerveau me hurlait de détaler. UNE voix, une seule. Grave, grondant comme le tonnerre qui s'abattait me fit relever les yeux. Il fit un pas et mes jambes retrouvèrent leur usage alors que je courru le plus vite que je pouvais. Non je ne voulais pas savoir ce qui se passait, ni même qui était ses hommes. Plus loin j'étais mieux je serais. J'oublierais tout et voilà! Chacun fais sa vie et je ne parlerais de ça à PER-SONNE. J'entendais les pas derrière moi lourd, pesant et qui faisait monter ma peur d'un cran de plus alors que je tournai dans une ruelle et trouvai refuge derrière une benne à ordure.

Oui je sais pas la meilleure cachette mais faute de mieux. Je me recroquevillai donc derriere les sacs poubelles, tentant de me fondre entre le mur et la benne a ordure. Ça puait la mort, ça sentait le fond de ruelle dégueulasse, avec les ordures qui me levait le coeur mais la peur m'empêchait même de vomir. Je retenais presque ma respiration, ordonnant même à mon coeur d'arrêter de tambouriner aussi fort. Il devait l'entendre, c'était pas possible que ça résonne dans ma tête et qu'il ne l'entende pas. D'ailleurs ils étaient combien? Un, deux, cinq? Les pas, ils arrivaient dans la ruelle crissant sur l'asphalte, lent, trop lent, menaçant alors que je priais qu'il passe droit me recroquevillant encore plus derrière ma barrière d'immondices puantes. Pas un son, je ne devais pas faire un son et je serais tiré d'affaire. Je penchai la tête sur mes genoux priant tout les dieux du ciel de me doté de magie et me téléporter loin d'ici. Les pas, je ne les entendaient plus. Ça faisait combien de temps? Une minute? Un siècle? Je tendis l'oreille comme un animal pris au piège. Pas de respiration, pas d'éclats de voix. aurait-il abandonné sa poursuite? Oh que je l'espérais! Le silence, ce silence trop lourd. Un silence qui aiguise vos sens, un silence qui accentue le sentiment de méfiance. Je détachai lentement les bras autour de mes jambes, je respirais difficilement mon air coincé dans mes poumons et relevai la tête pour étudier les alentours. Devant moi une paire de jambes… immédiatement mon coeur s'arrêta dans ma poitrine. Mon regard remonta lentement sur cette paire de jambes et… son visage. Je me levai d'un bond, la peur me torturant le ventre.

- Ne me faites rien… je vous en prie! ma voix devait être suppliante, limite un murmure alors qu'il me semblait que je hurlais J'ai rien vu, je promet que je ne dirais rien à personne.

J'aurais promis et juré ce qu'il voulait tant qu'il me laissait sortir de ma cachette débile et aller à ma voiture. Mon air se faisait de plus en plus rare, mon coeur me débattait si fort dans ma poitrine que mes oreilles bourdonnaient. Et moi qui voulait me changer les idées en allant voir un film… je m'attendais pas spécialement à me retrouver dans un remake boboche d'un film de mafieux tiens. En attendant je me tenais tranquille collé au mur de brique sans aucune issue de secours, enfin pas encore une que mon cerveau ai le temps d'enregistrer.

Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Lun 21 Sep - 17:47
Aksel Lorenz
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feat : Marcus Sjöfjord (Samounette)
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Date de naissance : 15/07/1988
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Le regard sur mes hommes et j’attends un appel important, l’un de mes hommes avait fait une erreur et pas n’importe quelle erreur et il n’allait pas me prendre pour un jambon longtemps maintenant il me rester à définir jusqu’où il a été et il allait apprendre qu’on ne s’amuse pas à mes frais Je pouvais voir que certains de mes gars n’était pas sereins alors que nous étions dans mon bureau à attendre le coup de fil du garagiste Zack était prévenu, il était celui qui m’avait fait remonter le problème, il faut dire qu’il est très protecteur avec la famille que nous sommes devenu avec le temps. Mon regard se pose sur une jeune danseuse qui venait d’arriver dans l’établissement, je dois dire qu’elle était agréable à regarder, elle était venue d’un cabaret de la ville qui ne la payait pas assez après un deuil qui l’avait frappé de plein fouet. Elle m’avait dit appréhender la chose mais très vite, elle avait fini par s’y faire et je dois dire que je ne serais pas contre une bonne baise avec elle, la prendre rapidement au wc ni vue ni connu. Bref ce n’était pas pour le moment ce à quoi je devais penser.

Alors que mon téléphone sonne, je me penche pour prendre mon téléphone, je regarde rapidement l’interlocuteur puis je soupire alors que je fais signe à l’homme qui vient d’arriver de retirer sa casquette “Ouai ? ok donc c’est confirmé… J’arrive, tu me l’emmènes où tu sais… A de suite” Je pose mon téléphone sur le bureau pour regarder les gens dans la salle, je me tourne vers mes hommes “J’ai besoin de deux de vous, ce qu’il va se passer ne sera pas cool, Y’en a un qui prend aussi le bagage avec le cobra dans la salle commune, il faut le déposer au cabinet du médecin qui vous soigne souvent” Je range mon téléphone dans ma poche de pantalon et j’attrape ma veste, lentement j’attrape une gourmandise sur le bureau puis je prends mon arme que je glisse dans son holster avant de regarder les autres “Vous allez récupérer les produits en transit, vous les faites traiter et après vous les emmenez à Izzy au bar”

Un léger coup de tête et nous voilà en route pour retrouver celui qui ne va plus être de ce monde, celui qui va être enterré au centre de palmier. On ne met pas longtemps pour arriver sur place, je regarde Zack et je le salue “Salut Mec ! Il est où tu m’as dit ?” Il me fait un signe de tête “Merci, au fait tu verras avec Inès, j’ai besoin d’une caisse avec pas mal de puissance à défaut si elle ne trouve pas, qu’elle voit ce qui y’a de mieux” Zack fait un signe de tête puis il part comme toujours, ce mec est admirable peu importe ce qu’il peut lui arriver, il reste un fidèle tout comme ma meilleure amie. Je regarde la voiture qu’une femme vient de lui ramener, qu’est-ce que je peux détester ces couleurs édulcorées “On bouge” Quand on arrive sur place, mon regard se pose sur les deux hommes, je laisse mon regard sur lui l’espace d’un moment puis je quitte la voiture pour me rapprocher lentement d’eux “Salut les gars!”

Rapidement je tourne le regard afin de vérifier que personne ne se trouve là. En un rien de temps, mon poing s’écrase sur sa gueule avec force. Il se retrouve rapidement au sol alors que je sors mon arme pour venir le mettre en jout. “Tu as cru que tu pouvais me trahir et frauder dans mon dos ?” Je laisse mon regard sur lui alors que je fais signe à mes hommes de se pousser un peu. Celui au sol essaie de se lever et rapidement une déferlante de coup de poing s’écrase sur sa gueule, je prends un mouchoire qu’un de mes gars vient de me donner, je reprends mon arme et le mets en jout une fois de plus alors que l’homme hurle qu’il n’a rien fait “Tu te fous de ma gueule…” c’est à ce moment que je tire une balle en pleine tête  Je détourne rapidement le regard pour le poser sur une jeune femme “Merde va me la récupérer j’arrive et vous deux débarassez vous de ce connard”

Alors que l’on recherche la femme,nous voilà dans une ruelle, je fais un signe de tête et rapidement je me retrouve devant elle. Je souris alors qu’elle parle de ne rien faire, qu’elle n’a rien vu, je regarde mon gars “Vas les aider, j’m’occupe personnellement de la gonzesse” Je repose mon regard sur elle, elle avait l’air d’une petite fille apeurée mais on sait tous que cela n’est qu’une facette, généralement ce sont ce genre de femme qui sont les pire. “Tu crois que c’est comme ça que tu vas me convaincre ?” Rapidement je me penche pour la soulever et la mettre sur ses pieds venant la coller contre le mur derrière elle. Mon corps vient se coller contre le sien pour éviter qu’elle ne se barre “Des menteuses comme toi, j’en vois à la pelle ma jolie, ne crois pas que tu vas t’en tirer comme si de rien n’était” Ma main glisse sur sa hanche la maintenant avec force même si je n’irais pas plus loin en la touchant.
Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Mar 22 Sep - 17:18
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Si vous saviez comment la peur vous donne des ailes! Jamais de ma vie je n'avais couru aussi vite à me faire brûler les poumons. Je savais que ce n'étais pas des enfants de choeur, j'étais pas si idiote non plus. Mais ma cachette elle… elle était la plus conne et la plus idiote jamais vu! Plus jamais je ne me moquerais quand je verras un personnage de série faire ça. C'était pas la meilleure ni même la moins odorante, mais je me tenais silencieuse en espérant qu'il m'oublie et ne me trouve pas. Malheureusement pour moi… il me trouva alors que je promettais monts et merveilles pour qu'il me laisse filer. M'occupe de la gonzesse? Ma peur se changea en terreur. Putin mais il était trois fois gros comme moi!! S'il "s'occupait" de moi comme il disait, je ne pouvais même pas me débattre! Et le blesser? Alors là c'était à mourir de rire si j'arrivais seulement à le faire. Crier? Ouais bonne idée sur le coup mais il allait soit se foutre de moi ou me rendre muette. Le convaincre? Euh… ouais on va dire ça comme ça. Disons que c'est plus "sauver ma vie" que je voulais.

- J'essaie pas de te…

À peine ma phrase commencée me voilà sur mes pieds et plaquée au mur et lui qui m'écrase alors que son regard vrille le mien. Menteuse? Moi? Mon regard s'enflamma comme mon corps également. Instinct de survie peut-être ou inconscience allez savoir, je pinçai les lèvres en une mince ligne fine. Mais quand je sentis sa main sur ma hanche je me débattis farouchement tentant de le repousser de mes mains, à coups de pieds dans les jambes, enfin je tentais parce que à côté j'avais la force d'une bébé chat.

- Je t'interdis de me toucher hijo de puta! Je t'ai dis que je ne dirais rien je ne le ferais pas. Fais moins de gonflette, tu vas comprendre plus vite.

Je tentais même d'enlever sa main dégueulasse de ma hanche en me tortillant vivement et… reblote me faire immobiliser. Ok cette fois…. ta gueule ma chérie. Tu attache fort fort ta langue sinon lui te l'arrache. Je respirais par petit coups, mon coeur menaçait de défoncer ma poitrine tellement il me tapait dans la poitrine. Cette fois tout les mots et insultes mourraient dans ma gorge de peur que…. que... que je sais pas mais de peur. Son visage était trop proche du mien, son souffle me brûlait le visage. La terreur irradiait de mon corps comme un aura.

- Écoute, je sais pas qui tu es, ce tu fous dans la vie et je ne veux pas le savoir. Mais je te jure que je ne dirais rien.

Tiens soudainement POUF amnésie! Pratique tiens! Puis comme ça tout le monde est tranquille, chacun reprend sa vie.

Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Dim 1 Nov - 14:39
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Face à la jeune femme, je me dois d’être droit dans ce que je suis, je tourne lentement la tête vers elle, je la déshabille du regard, elle est plutôt pas mal, elle pourrait être pas mal dans le club entrain de se déshabiller pour les hommes et même plus encore. Je souris quand elle dit qu’elle n’essaie pas de… certainement de fuir mais je finis par me plaquer contre elle, oh pas pour la baiser ou autre de ce genre non mais afin d’être sûr qu’elle ne fuit pas, j’en profite pour poser une main sur sa hanche la maintenant avec fermeté alors que mon regard reste sur elle. J’éclate de rire alors qu’elle dit qu’elle ne dira rien et la suite de sa phrase est encore plus drôle, ma main monte sur sa gorge et je la maintiens alors que je m’écarte d’elle un peu regardant autour de nous puis je repose mon regard sur elle.

“Pauvre petite fille, tu crois vraiment que c’est avec tes belles paroles que ça va changer quelque chose ?” Je finis par relâcher un peu mon emprise sur elle, je finis même par m’écarter un peu alors que je laisse mon regard sur elle “Je te préviens tu bouges et t’es morte” J’attrape mon téléphone qui vibre et y répond alors que mon regard reste sur la jeune femme face à moi “Très bien, non pas besoin d’aide, ouai j’m’occupe d’elle, mettez la voiture pas trop loin” Je raccroche et je regarde si la jeune femme à un sac ou des papiers, j’attrape sa carte d’identitée puis je lève les yeux vers elle. “Frida Murillo ! 26 ans” Je tourne la carte et je finis par la remettre à sa place.

Je l’écoute, je ne peux nier qu’elle a du cran mais elle ne devrait pas, elle ne devrait pas être ainsi “On m’a tellement dit cela que je ne crois pas les belles paroles encore moins de jolie femme à moins d’avoir une preuve formel de ce que tu viens de dire.” Je fronce les yeux en entendant du bruit, je tourne la tête et fais un signe de tête de dégager à la personne se pointant vers nous. Puis je reviens sur la jeune femme “Je vais te faire une fleur, je suis Aksel Lorenz, ici beaucoup de choses sont sous mon contrôle, tu vois maintenant tu sais comment je m’appelle comme je connais ton prénom et sache qu’en très peu de temps, je connaitrais tout de toi même la couleur de ta petite culotte préférée”

Je ne mens pas tout ce que je viens de dire est vrai, je vais tout connaître d’elle même les personnes qu’elle fréquente, il me faut qu’un coup de fil pour tout avoir. Je reprends mon téléphone et appelle un de mes contacts “C’est AK, tu peux me trouver toutes les informations que tu peux sur Frida Murillo née le 30 avril 1994, j’veux tout savoir, ouai même ça et en priorité son adresse, son lieu de travail bref comme d’hab” Je range mon téléphone et je reviens sur la jeune femme. “Alors dis moi sur quel secret je vais tomber, jolie Frida ?”
Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Sam 7 Nov - 18:36
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Son rire qui rebondisait sur les murs auraient dur me faire peur, me calmer même ou à tout le moins me la boucler. Mais je me débattais comme un chaton, me tortillais me sortir de là. Sa main sur ma gorge me force à le regarder pétrifiée de peur. Mais j'avais rien fait de mal, je ne voulais même pas aller voir les flics pour leur dire… ben leur dire quoi en fait "J'ai u un mec avec un flingue"? Nah mais ils en voyait à tous les jours ça serait rien pour les aider. Pas plus que Il est grand avec des tatouages en gros… rien pour aider donc… je n'irais pas les voir. Pauvre petit fille… Nah mais!! Oui bon en fait en ce moment ouais une petite fille qui flippe à mort. Je ne parlais pas, je ne répondis même pas à sa question… qui n'attendais pas de réponse en fait. Sa main faisait ma gorge au complet et s'il décidait de m'étrangler je ne pourrais absolument rien faire. Puis quelle mort horrible finir dans un tas de poubelle… Je remerciais le ciel quand il me relâcha et il n'avait pas besoin de me prévenir, je n'aurais pas bouger de toute façon. Le mur de brique était soudainement mon meilleur ami alors je ne fis que hocher la tête lentement fermant les yeux pour tenter de reprendre le contrôle de mon pauvre corps tétanisé. Immédiatement mes paupière s'ouvrent au "Je m'occupe d'elle, mettez la voiture pas trop loin.". Hé oh monsieur le balaise on se calme oui? Quoique s'il m'avait demander de lécher le bitume dégueulasse pour avoir la vie sauve je crois que je 'aurais fait dans l'état où j'étais.

- HÉ! Donne-moi ça! alors qu'il arrache mon sac à main. Bah bravo choupette!

Il me gonfle ce gros connard! Bon en même temps ce gros connard me barrait la route et était assez menaçant pour que je me tienne tranquille. Là c'était à chier, il savait mon nom. fini je la boucle.

- Laisse-moi partir et tu l'auras ta preuve. Je suis pas une menteuse. Oh… non pas de bravoure ici ma chérie, tu ne faisais clairement pas le poids. Je tourne mes iris vers la provenance du bruit espérant qu'il vienne à mon aide et…. bah non. Putin… mon regard remonta vers… Aaaaah…. mais non non non non! Je veux rien savoir merde! Et soudainement l'éclat de courage que j'ai pu avoir disparu là en ce moment.

- Tu ne sauras rien de bien passionnant… dis-je d'une petite voix à deux doigts de pleurer. Et je me retenais fort ceci dit.

Quand il sorti son téléphone de nouveau et dit qu'il voulait tout savoir sur moi je sentis tout mon être se décomposer. Mais comment il allait comprendre que j'étais qu'une fille paumée dans une rue paumée qui voulait simplement retourner chez-elle? Mon adresse et mon lieu de travail? Mais j'étais responsable de gamins il allait quand même pas faire peur à des enfants? Je sentis les larmes me monter aux yeux maudissant que je sois descendu de ma voiture.

- Je t'en prie… je te jure que je ne dirais rien… Mais il revient vers moi son regard planté dans le mien me clouant les deux pieds au sol.

Sur quels secrets? Sur moi? Non mais merde il se foutait de moi! J'ouvrais et fermais la bouche quelques fois essuyant mes yeux d'un geste rageur. J'avais été une bonne adolescente, j'avais été dans l'équipe de cheerleader de l'école de la NOLA. Même jeune adulte j'étais une fille sans histoire. Qu'est-ce qu'il pourrait découvrir? Mon histoire avec le conseiller de la ville? Mais personne ne savait il était un champion de la discrétion. Mais bon il était mort maintenant alors… On se voyait dans le plus grand secret. Quelques tickets de vitesse sinon…. bah que j'avais mes parents à la Nola. Isabel et Espéranza mes soeurs et ma filleule Angelina à la Nola sinon pour le reste… une vie bien monotone.

- Mais je… J'ai une vie tranquille tu trouveras rien! Absolument rien! RIEN!! TU COMPRENDS! dis-je en tentant de le pousser réalisant vite mon erreur et que j'avais parlé en espagnol vu l'agacement et la détresse de la situation. J'étais à un pas de lui… un pas trop proche même. Je voulais juste regagner mon appart rien d'autre, qu'il me laisse partir.


Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Dim 29 Nov - 18:15
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Elle le faisait rire et pas qu’un peu, elle croit que sur une parole je vais la croire et surtout accepté comme ça qu’elle se barre sans être sûr qu’elle n’ira pas balancer ce qu’elle sait. Mon regard reste sur elle un bon moment, j’en viens même à parcourir son corps de mon regard, elle est plutôt pas mal, elle serait bien au club à se foutre à poil pour le plaisir des yeux de mes clients mais aussi des miens j’avoue. J’avouerai même que de l’avoir dans mon lit ne serait pas un luxe, elle est un peu trop rebelle, un peu trop tout en fait… J’’attrape son portefeuille et je regarde ce qu’il y a à l’intérieur oh je ne vais pas lui piquer son fric, j’en ai strictement rien à foutre de son fric mais ce que je veux c’est connaître son nom, son prénom mais aussi sa date de naissance, je laisse mon regard sur elle avant d’attraper mon téléphone pour passer un coup de téléphone à un de mes indics dans la police.

Tout en laissant mon regard sur elle, je demande de me donner tout ce qu’il peut trouver sur la jeune femme et surtout je veux son adresse. Une fois le téléphone rangé, je la regarde de nouveau alors qu’elle avoue ne pas être une menteuse, cela me fait rire, il est loin le temps où je croyais la parole des gens même quand c’était la première fois que je les rencontrais. Je soupire alors que mon regard reste dans le sien, si elle pouvait savoir que j’en ai strictement rien à foutre de ce qu’elle peut dire pour tenter de me convaincre qu’elle est une personne de confiance, une personne à qui on peut tout lui confier ou je ne sais quoi. Cette fille est comme tout le monde à mes yeux… Aujourd’hui, même avec les miens la confiance n’est plus, je remarque que dans son regard, des perles salées se formaient.

Si elle savait à quel point ça ne me fait ni chaud ni froid, “Pauvre petite fille, tu crois vraiment que tout se passe comme ça, que je vais te croire simplement parce que tu parles, il va m’en falloir un peu plus” Je sens ses mains sur moi alors qu’elle tente de me repousser, ça me fait étrangement rire et je finis par lui attraper ses mains venant la plaquer complètement contre le mur sans douceur. Je fronce les yeux alors que mon corps vient se coller au sien. “Pousse moi encore une fois et je te jure que tu vas passer un mauvais quart d’heure ma jolie” c’est à ce moment précis que je reçois un sms, j’attrape mon téléphone pour le lire. “Un appartement au 469 East and West Strip, enseignante”

Je range mon téléphone et rattrape la main de la jeune femme, la bloquant une nouvelle fois “Tu vois, c’est rapidement pour avoir quelques renseignements et je suis sûr que sous peu j’en aurai d’autres” je ne doute pas là-dessus, dans peu de temps j’en saurai beaucoup sur elle, sa famille et même ses collègues de travail. Je lui soulève son menton pour venir planter mon regard dans le sien “A compter d’aujourd’hui, quoi que tu puisses faire, je le saurai Jolie Frida”
Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Jeu 3 Déc - 19:30
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Rien ne fonctionnait, absolument rien! En même temps il avait dû en voir d'autre bien plus coriace et farouche que moi. De plus quand il me détaillait je me sentais pas à l'aise, mais pas du tout. Je pouvais presque lire ses pensées et… dans ma tête je pouvais le dire gros dégueulasse tiens! Même s'il me demandait de me foutre à poile je résisterait de tout les fibres de mon corps et en même temps s'il décidait lui même de me foutre à poil… bah je serais à poil tiens. Quand il prit mon sac je voulu le récupérer mais le regard noir qu'il me jeta m'empêcha même d'avancer. Qu'est-ce qui a pu se passer dans sa vie pour qu'il soit comme ça? Euh… attends ma belle tu veux vraiment savoir? Non en fait ça ne m'intéressais pas le moins du monde tiens.

Les larmes de peur et de supplication se forme dans mes iris vertes et je les essuie rageusement. Tout stoppa en une seconde, il lui fallait plus? Plus pour qu'il me croit? Ok… c'est là qu'il allait demander d'avoir son dû et que moi, pauvre femme je devrais me soumettre. Pfff… hors de question! Mais la rage, ou l'inconscience allez savoir, me donnait une once de courage alors que je tentais de le pousser, lui faire perdre l'équilibre pour regagner ma voiture et me barrer de cette ruelle minable qui empestait la mort. mes mains prisonnière des siennes, il ma plaqua fortement sur le mur me coupant le souffle et me faisant voir des étoiles en même temps alors que je fermai les yeux sous l'impact. Ses iris bleu de glace vrillaient les miens et semblaient lire jusqu'au fond de mon âme. Je hocha rapidement de la tête terrorisée et immobilisée parce le mur de béton qu'il était.

- Ok… ok… je me tiens tranquille. Je me demande même si je respire encore tellement je suis pétrifiée de peur. De toute façon je n'avais même pas la force pour lui faire perdre l'équilibre. Il lâcha un main mais j'étais maintenue encore par l'autre. quand sa voix grave dit mon adresse et mon emploi ton mon être sembla se liquéfier. Je ne pourrais jamais m'en sortir à moins qu'il meurt. Mais encore là… comment le saurais-je? Il n'y a pas une bonne âme qui viendrait cogner à ma porte m'en avertir. J'eus un petit sursaut quand il repris ma main libre et me bloqua une nouvelle fois au mur alors que mon regard fouilla le sien. Mais il voulait apprendre quoi sur ma vie? Il allait tellement la trouver ennuyante! Et je te dis que tu vas mourir d'ennuie sur ma petit vie… tentais-je un peu plus fermement. dis-moi une chose, tu ne feras rien aux enfants. Ils n'ont rien à voir avec tout ça.

Puis il voulait apprendre quoi de plus sur moi? Mon père était issu des familles pauvres qui avait eu un coup de coeur sur ma mère qui elle était de famille plus "riche". Enfin si riche voulait dire qu'elle allait à l'école. Mon père savait écrire et lire un peu et la cour qu'il fit à ma mère bien que rempli d'amour et de tendresse fut longue et difficile. Mais il maria ma mère et donna naissance à trois petites filles même s'ils restaient à la limite des bidonvilles. Après ils ont immigrés à la Nouvelle-Orléans pour vivre leur "American Dream" et donner le plus de possibilité possible à leur filles. Isabela était fiancé, presque mariée, Espé avait eue une petite fille et dont le petit copain était décédé mais refais sa vie avec un mec génial. Et ya moi… qui était parti de la NOLA suite à une énorme peine de coeur mais qui chérissait Angelina ma petite filleule d'un an. Je vivais seule avec mes poissons rouges, Je bossais, j'aidais à l'association pour les démunis. Parfois je sortais, parfois je restais chez-moi à me faire un "Netflix and chill". Oui une vie bien minable. Il y avait Miranda qui était une bonne collègue, Jade une amie, Juan mon cousin, Lyam…. bah un ami. Ah M. Davis qui me faiait du rentre dedans mais bon… on s'entend que j'étais pas dsespérée au point de me lancer dans ses bras non plus.

Il me tira de mes rêveries en soulevant mon menton pour que nos regards se rencontrent. La froideur et la cruauté que j'y voyais glaça mon âme et mon coeur. Il pourrait me tuer sur place avec un simple regard c'est fou! Mais qu'est-ce que tu veux savoir sur moi? Ma vie est tellement ennuyante que tu vas t'endormir dessus. Puis dis-moi ce qu'il faut que je fasse pour que tu me laisse tranquille ou à tout le moins que tu me crois.


Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Dim 6 Déc - 17:02
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Pourquoi a-t-il fallu qu’elle voit tout, elle est loin de s’imaginer qui je suis et de quoi je suis capable bien que je ne doute pas une seconde qu’elle ait pu voir une partie de tout ça. Mon regard dans le sien, je la maintiens contre ce mur qui doit être bien trop froid, elle pouvait essayer de me pousser ou faire bien d’autres choses cela n’aura pas le but escompté. Je lâche un peu ma prise quand elle me signale qu’elle va rester tranquille, vaut juste mieux pour elle “Tant mieux” Alors que je suis contre elle, mon téléphone sonne, voilà les premiers éléments qui tombent sur sa personne. Je l’écoute me répondre et un large sourire s’affiche sur mes lèvres, oh moi, je n’allais certes rien faire mais parmi mes hommes, je savais que certains pouvaient être sans pitiés. “ça c’est entre tes mains ma jolie, si je dois passer par là pour que tu la fermes alors je passerai par là” Mon regard reste un petit moment sur elle avant que je ne détourne le regard quelques instants.

Je finis par lui relever le visage en lui tenant le menton, mon regard se plante dans le sien, je ne peux nier qu’elle est vraiment bien gaulée, putin, je l'imaginais bien entrain de se déshabiller lentement sur le rythme d’une musique douce, bordel.. Je l’écoute et je souris à sa question “Je ne dirai jamais que je te crois, il me faut des preuves pour cela je finis par lâcher son menton tout en laissant mon regard dans le sien “Ce que je veux savoir, je le saurai sans que t’es besoin de l’ouvrir. Avant ce soir je saurai tout sur toi et ta petite famille” Je l’observe alors qu’un de mes gars arrive “Aksel ! On a fait ce que tu voulais. Tu veux qu’on te débarrasse d’elle ?”

Je tourne le regard vers Frida avant de revenir vers mon gars “Non, tu m’appelles Dag, j’veux qu’il la voit et vous vous dégagez” Je fais un simple signe de tête vers l’homme avant de revenir vers la jolie Frida. Doucement, je remets une mèche de ses cheveux derrière son oreille [colot=darkcyan] “Tu vas faire comme si tu ne m’avais pas vu, comme si tout ce qu’il s’est passé n’était que dans un rêve mais sache une chose, c’est que jamais tu ne seras tranquille Frida. Chaque fois que tu vas sortir et jusqu’à ce que j’en aurai décidé autrement et je peux te dire que je suis très patient ça peut durer des années”[/color] Est-ce que je cherche à lui faire encore plus peur mais bien sûr et elle n’est pas au bout de ses surprises.

Je finis par me décoller d’elle un peu mais tout en restant proche afin d’éviter aussi qu’elle ne prenne la fuite mais au fond, elle ne pourra aller trop loin et ça je sais qu’elle ne le fera pas à moins d’être complètement stupide. “Par contre, je vais te dire ce qu’il va se passer si tu parles… On viendra quand tu t’y attendras le moins, on t’emmènera dans un endroit au calme où on s’occupera de toi, l’homme qui va arriver, sortira tes entrailles pour les donner à bouffer à nos cleps et après ton corps sera envoyé en morceau à chacun de tes petits élèves, par contre avant je pense que je laisserai certains de mes gars jouer avec toi” Je laisse mon regard dans le sien. Bon ok je ne laisserai pas mes gars faire ça, s’il y a bien une chose que je ne cautionne pas c’est bien le fait qu’on puisse prendre de force une femme mais ça elle ne peux pas le savoir.
Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   Ven 18 Déc - 13:56
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OMG! What are you doing here!

code by exordium.
Mon père disait que j'étais sa princesa et que j'avais le pouvoir d'avoir ce que je voulais avec un peu de doigté et de finesse. Je l'ai cru ma vie entière, après tout j'étais la dernière de la famille et protégée limite si je n'avais pas enrouler ma famille autour de mon petit doigt même. Cependant là je devais admettre que ce pouvoir me faisait cruellement défaut. Comme on amadouait un homme comme lui? Impossible! Enfin… si il y avait un manière mais hors de question que je m'abaisse à ça donc je préférai jouer de prudence et me tenir tranquille et me la boucler valait mieux. J'étais minuscule à côté, une pichenette et il me brisait tous les os. Même son corps écrasant le mien me donnait des envies de me débattre et de tenter de repousser violemment mais ma peur était si envahissante prenant place tout à l'intérieur de moi que je restais de marbre bienne appuyé son mon ami le mur de brique. Donc après que mon être entier se décompose au vu des informations qu'il obtint sur moi je devais lui demander qu'il ne s'en prenne pas à mes petits élèves. Je sentis la fatalité s'abattre sur moi à ses mots. Il n'hésiterait pas à s'en prendre à des gamins? À de petits humains innocents qui n'ont rien demandé à personne? Mais quel être immonde! Un gros salopard, un homme pourri jusqu'à la moelle! Mon coeur sembla ralentir dans ma poitrine alors qu'il me semblait que j'avais reçu un coup de poing en plein ventre. Je baissai le regard me disant que toutes mes chances de m'en sortir s'amenuisait de plus en plus. Les chances qu'il m'oublie elles aussi semblaient vouées à l'échec.

Mon visage se releva vers le sien alors que son regard sembla me vriller jusqu'à mon âme durement éprouvée. Je m'entendis lui demander ce qu'il faudrait que je fasse pour qu'il me crois, espérant qu'il ne me dise jamais ce que je pensais. Cependant quand il me dit qu'il lui allait des "preuves" pour ça, je fronçai les sourcils légèrement. Hé oh du con! si tu pense une seconde que je vais laisser tomber un seul morceau de vêtement tu te plante! Quoique, s'il décidait lui que oui… j'étais bien peu de chose devant lui. Je sentis mon sang se glacer quand il m'affirma qu'avant la fin de la soirée il saurait tout sur moi, ma famille. Terrifée je fouillai son regard, mon coeur reprenant du service battant si violemment dans ma poitrine et dans mes oreilles qu'il étaient impossible qu'il ne l'entende pas! Je fermai les yeux lentement, ravalant difficilement chassant les larmes de mon regard. Non je ne m'abaisserai pas à pleurer une fois de plus devant lui, même si l'envie était forte. Rien pour attendrir ce gros débile musclé. D'ailleurs la gonflette devait lui ralentir l'oxygène au cerveau tiens! Les paroles que j'entendis à savoir s'il "s'occpait de moi" me fit ouvrir les yeux et tourner le regard vers l'acolyte. Putin mais ils allaient faire quoi de plus? Je sentais mon sang se glacer dans mes veines, alors que je devais pâlir de terreur. Moi qui avait déménagée pour recommencer à zéro… bravo Frida! On peut pas dire que c'est ton meilleur coup celui-là. Je lâche le gars au bout de la ruelle du regard pour le tourner vers Aksel la peur transpirant de tout mes pore de peau, elle devait même irradier autour de mon être entier. Quand il remet une mèche derrière mon oreille je me recule encore plus sur le mur si c'est dieu possible et détourne la tête. Je ne veux pas qu'il me touche, je me sens dégueulasse, et je ne veux surtout pas de ses grosses pattes sales sur moi. Quand il reprend la parole je risque un coup d'oeil en coin sur lui l'instinct de survie tentant de se frayer un chemin dans la terreur de mon être.

- Je t'ai dis que je dirais rien. Mais je t'assure que tu vas tellement t'ennuyer à me suivre que tu vas me laisser tranquille dis-je avec une petite grimace de dégoût. Ouais, ouais je sais je ne fais pas peur à personne. J'ai plus l'air du petit chaton qui feule que de la lionne qui rugit mais laissez-moi l'illusion que si d'accord?

Enfin il se décolle de moi et je retiens un soupir de soulagement je pourrais prendre la fuite, tenter de me faufiler et détaler comme un lapin mais il me rattraperait en 0.3 secondes alors valait mieux rester sage. Je l'écoutais, c'est pas comme si j'avais le choix de toute façon, et plus il parlait plus je sentis que maintenant ma vie serait un putin de bordel. Ma respiration s'accéléra de plus en plus alors que même l'idée qu'un ou plusieurs "joue avec moi" comme il me le disait.

- Je ne leur donnerais jamais ce plaisir… pas plus qu'à toi t'inquiète ajoutais-je en plissant les yeux légèrement et croisant les bras sur moi. Vaine tentative d'avoir l'air brave. J'ai bien dit "vaine tentative" car s'il levait le ton clairement j'allais m'écraser comme un brave toutou.


Sujet: Re: I swear, i never tell anybody (Aksel)   
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