Andrew &Lyliana ◘ Il y a plus de volonté qu'on ne croit dans le bonheur

Mon monde est depuis longtemps rempli d’obstacles, je ne sais plus quand ma vie a été réellement parfaite à mes yeux ou peut-être que si mais cela appartient à un passé qui au fond est toujours présent dans ma vie d’une façon différente. Pourtant je sais que c’était loin d’être le cas mais bon, aujourd’hui je fais avec et je remarque que j’ai besoin d’avoir mon indépendance et de vivre seule au moins un moment. La conversation tourne sur un sujet bien plus précis, un sujet qui appartient à notre passé commun, je souris alors que mon regard reste dans le sien, j’avoue qu’il n’a pas tort “Et je me souviens que tu aimais ça surtout sur certaines zones” Parler de ce genre de chose avec Drew ne m’a jamais gêné et puis dans un sens c’est si simple de le faire surtout qu’il est difficile de ne pas surenchérir dans le jeu de provocation dont il est quand même un maître en la matière.

Quand il me dit que je n’ai pas toujours dit ça, je grimace mais il n’a pas tort avec lui du moins car c’était toujours dans le jeu, jamais cela n’a été violent, jamais cela n’a été dans le but de faire mal. “Ah ouai et qui dit que je ne faisais pas semblant d’aimer ça” Je souris, il sait très bien que ce n’était pas le cas, il sait très bien qu’il a toujours été un expert en la matière et puis c’était ce qui faisait notre force à l’époque aussi. Je continue de sourire avant que la conversation ne dévie vraiment sur le fait d’aller vivre chez lui du moins un moment. Je lui parle des putes qui partage parfois son lit, est-ce de la jalousie, non, enfin je ne crois pas, j’ai toujours voulu ce qu’il y a de bien pour lui mais pour le moment aucune femme n’a été à la hauteur.

“Oui je viens vivre chez toi et tu as raison, je vois pas en quoi une pute serait bien pour toi ! A la rigueur, la dernière en date, elle ce n’était pas une pute, enfin pas de ce que j’ai vu mais à croire qu’elle n’était pas non plus assez bien pour toi, j’me demande bien si au fond y’a vraiment quelque part une femme assez bien pour toi” Je réfléchis à cela quelques secondes sans réellement voir une potentielle femme digne de ce nom pour le supporter vraiment et surtout pour le rendre réellement heureux. Je suis son regard sur le loup et je souris alors qu’il dit qu’il mord aussi “j’aimerai bien voir ça” dis-je en rigolant avant de reprendre mon sérieux alors qu’il parle du gang.

Je l’écoute tout en mangeant puis je finis par lui faire goûter mon plat venant ensuite nettoyer son menton de mon pouce avant de le lécher comme je l’ai toujours fait avec lui. J’ouvre la bouche pour goûter à son plat avant de sentir son doigt venir à la commissure de mes lèvres, mon regard se plante dans son regard, cette proximité, étrangement me fait du bien même si au fond ce ne sont que des gestes anodins. Une fois de plus, alors que sa main glisse sur ma joue, j’appuie un peu ma tête contre celle-ci, je ferme un court instant les yeux puis je les rouvre pour venir planter mon regard dans le sien une nouvelle fois.

Ma main glisse sur la sienne après avoir posé la boîte, je lui souris alors que je tourne ma tête pour venir déposer un baiser dans sa paume. “Merci pour ce repas et pour ce moment” Je laisse mon regard dans le sien retirant doucement ma main de la sienne pour venir effleurer du bout de mes doigts sa barbe, un des vieux “tocs” que j’ai toujours eu avec lui avant de la retirer gardant un large sourire sur mes lèvres. "Tu veux que je vienne quand chez toi ?" dis-je curieuse de savoir s'il voulait du temps pour lui avant que je vienne.

 Quoi qu’elle fasse Lyli aura toujours une place dans mon cœur, est-ce parce qu’elle est mon premier amour ? J’avoue ne pas le savoir, mais dans la finalité ce qui compte c’est qu’elle est importante pour moi, elle est avec certitude l’une des personnes les plus de ma vie. Il est vrai qu’après notre histoire, nous aurions pu nous séparer, mais nous étions soudés et je pense que nous avons de la chance d’avoir ce genre de relation à l’heure d'aujourd'hui. La conversation continue sur sa langue et je souris sans gêne quand elle me dit que j’aimais sa langue sur certaine zone << Qui n’aime pas les coups de langue sur certaine zone franchement ? >> je ris un peu plus sans arrière-pensée puisque ce moment est simple et léger comme tout le moment que je passe avec la demoiselle. Rapidement, je la reprends quand elle me fait son petit cinéma sur le fait est que je lui ai fait mal et je lui dis qu’elle n’a pas toujours dit ça et sa réponse me laisse sans voix un petit instant, mais je me reprends << Oh allez, arrête je me souviens parfaitement des vibrations de ton corps et de tes cris quand ma main s'abattait sur tes fesses ! >> bien que je n’en parle pas souvent, j’ai effectivement de très bons souvenirs nous concernant elle et moi que c’est dans des moments intimes comme dans d’autres situations << Tu ne m’auras pas, je sais que tu aimais ça ! >> plus que certain de ce que j’insinue je ne me prends pas trop la tête avec le fait est qu’elle aurait pu effectivement ne pas apprécier, mais si dans l’instant selon elle venait à m’avouer de manière véridique qu’elle n’aimait pas cela je dois dire que je me sentirais bien con. Comme toujours nous passons du coq à l’âne et maintenant nous parlons du fait qu'elle vienne vivre chez moi le temps de se trouver un petit quelque chose rien qu’à elle et sa confirmation me fait sourire grandement au point où toutes mes dents sont visibles le temps de quelques secondes et je soupire << Je ne dirais pas qu’elles sont des putes, mais ouais ce n’est pas forcément des femmes qui se respecte. Izzy n’est pas une pute au contraire, elle mérite un homme qui serait prêt à tout pour elle >> dis-je en gardant à l’idée que je ne suis pas cet homme puisque j’ai mis fin à ma relation avec elle pour des raisons qui me concerne dans le fond. Sa nouvelle remarque sur le fait qu'elle aimerait bien me voir la mordre fait naître en moi une envie soudaine que je contrôle sans continuer la conversation et je commence à manger tout comme elle. Rapidement, je désire goûter son repas, chose qui chez moi est normale j’ai toujours été ainsi. Elle me tend sa fourchette et elle essuie la sauce qui a coulé et je répète l’opération en lui faisant goûter mon repas, je lui essuie doucement le coin des lèvres pour venir lui caresser la joue tout en la fixant droit dans les yeux et je souris légèrement à son remerciement << ça me fait plaisir >> le petit baiser qu’elle a gentiment déposé que la paume de ma main ma voler un petit sourire, mais mon regard ne la quitte pas des yeux alors quand elle me demande quand je veux qu’elle vienne vivre à la maison ma réponse est tout autre << Tu aimerais que je te mordre ? >> je pose la boite que j’ai en main et doucement je viens de mon autre main décaler une mèche de cheveux de son visage.

La conversation que nous avons est simple sans arrière pensé et pourtant on parle de ces moments où nos corps s’unissaient à la perfection, où le simple geste que nous faisions avait une signification particulière. Mon regard sur lui, je lui rappelle que ma langue, il l’a aimé quand elle venait s’enrouler autour de son membre, quand elle venait s’amuser avec sa jumelle lors de baisers langoureux. “Pas toi en tout cas, tu aimais ça et j’suis sûre que tu aimes toujours ça” Je souris sans gêne, je n’ai jamais été gênée face à lui sauf quand je dissimulais mes bleus mais ça c’est de l’histoire ancienne. Je l’écoute avant d’hausser les épaules mais j’avoue que j’aimais ça, j’aimais sentir la puissance de tout… En fait j’aimais tout quand on regarde bien. “Bon ok tu as raison, j’aimais ça et puis tu as toujours su bien t’y prendre” Je le regarde en souriant avant de reparler des filles qui passent dans son lit.

Il est vrai que j’ai peut-être un langage vulgaire sur cela mais à mes yeux, chaques filles qui sont passées dans son lit sauf peut-être Izzy, au fond, je n’ai pas eu le temps d’apprendre à la connaître vraiment à part ce jour à l’hôpital où elle n’a pas vraiment apprécié le fait que je sois proche de lui et qu’elle n’ait pas entendu parler de moi mais bon après c’est pas mon problème, je n’étais là que pour l’homme en face de moi, l’homme qui a une place importante dans mon coeur et dans ma vie depuis toujours.Après avoir accepté de venir chez lui, je l’écoute me répondre et il me confirme qu’Izzy n’en est pas une et je soupire quand il dit qu’elle mérite un homme prêt à tout pour elle. Je peux le comprendre mais je me dis aussi qu’il aurait pu être cet homme s’il l’avait voulu mais après je ne connais pas toute l’histoire. “C’est ce que j’ai cru remarquer pour Izzy à l’hôpital mais bon….”

Je ne rajoute pas plus, au fond je ne la connais pas et pour moi, elle n’a pas su le garder tout simplement et c’est une erreur de sa part. “Oui enfin pour les autres, si c’est pas des femmes qui se respectent c’est un peu ça non ? Quoi que tu as le choix avec les filles du club” Je laisse mon regard dans le sien tout en mangeant, j’ai dû mal à détourner mes pupilles des siennes et encore plus après ce petit moment où mon pouce est venu l’essuyer et inversement venant le remercier pour ce moment alors que ma joue appuie doucement contre sa main, ce contact m’a tellement manqué et pourtant nous en avions déjà eu mais je ne sais pas, je pense que j’avais besoin de cela en ce moment. Je pose au sol ce que j’ai dans les mains venant lui demander quand il voulait que je vienne mais ça réponse, je ne m’y attendais pas une seconde et son autre main qui vient remettre une mèche de cheveux.

“Me mordre ?” Je rigole légèrement et pourtant cette proximité est étrange “Je suis sûre que tu ne le feras pas” Est-ce que je le mets au défi, je ne peux le nier, ça a toujours été comme ça, le moindre petit truc fait que l’on se lance des défis mais là…. là c’est autre chose. “Voilà tu vois tu n’es pas capable de me mordre, tu parles beaucoup Chou mais quand il faut agir y’a plus personne” Je me mets à rire sans le quitter du regard

Je crois que tout le monde sait que je suis le genre de mec qui aime avoir une langue autour de mon sexe, je crois qu’en vrai tout mec qui se respecte aime se genre de chose d’ailleurs, même un homme appréciant un homme doit aimer ce genre d’acte ! Il faut dire que c’est l’un des meilleurs surtout quand la langue est une experte en la matière et je sais de souvenir que la petite brune ici présente à toujours su se servir de ce muscle. Je ris en l’entendant avouer enfin qu’elle a toujours aimé ça et que j’ai toujours su m’y prendre ce n’est pas nouveau et aucune femme n’est jamais venu se plaindre au contraire elles en réclament toujours plus. Tout en riant j’ajoute << Il n’y a pas de mal à aimer prendre du plaisir ! >> s’il y a bien une chose qui n’est pas mal dans ce putain de monde, c’est bien ça ! Et comme le sujet de sexe ne peut pas continuer sur une détente à la cool, nous parlons des femmes non respectables que je baise pour me vidanger où par simple plaisir du moins des femmes que je baisais à l’époque puisque depuis Izzy je suis à la diet comme un pauvre obèse au régime et je peux garantir que je suis en manque ! Quel genre de mec est en mesure de garder son engin dans son froc des mois et des mois ? Franchement, je respecte le mec capable de ça parce que moi… j’ai de plus en plus de mal à supporter << Je crois qu’Izzy c’est la seule avec toi avec qui j’ai eu quelque chose et qui a mon respect… Les autres ouais c’est d’une certaine manière des putes, des putes que je ne paye pas ! >> payer pour niquer ? Bordel, c’est un principe que je ne comprends pas et que je comprendrais jamais comment un mec ne peut-il être aussi bas ? Le cul, c’est la base, c'est le commencement de ce monde alors comment peut-on arriver à le payer << Tu sais bien que je touche pas le tas de microbes que les nanas du club peuvent être ! >> je pense sérieusement que je peux crever sous l’envie de baiser que jamais je ne toucherais une des filles du club passer après le train et ses multiples wagons n’est pas ma cam je laisse ça au chien.  Le regard toujours sur elle, je la laisse me nettoyer puisqu’il semblerait que je mange comme un cochon et pour le plaisir de la toucher, mais également pour lui essuyer un peu de sauce je passe mon pouce sur le coin de ses lèvres laissant mon regard dans le sien. Lyli est l’une des rares femmes que je trouve belles, il y a bien entendu de jolies femmes, mais des belles ? Elles sont rares à mes yeux. Naturellement, je lui demande ce qui me passe par la tête et je décale une mèche de cheveux tout en lui demandant, si elle a envie que je la morde. Sa réponse ne me surprend pas puisqu’elle est surprise de ma question cependant la suite de ses paroles me titille, elle joue avec moi j’en suis presque certain. Elle mieux que n'importe qui sait comment je suis quand on me met au défi et de toute évidence elle s’y amuse. Malgré ce qu’elle dit face à ce que je suis capable ou non, je souris et sans lui demander la permission je presse mes lippes contre les siennes avec une envie indéniable, elle est en droit de me repousser de me frapper de m’insulter à dire vrai, elle est en droit de faire tout ce qu’elle veut, mais une partie de moi espère qu’elle réponde à cette douceur que je veux partager avec elle ce moment ne dure que très peu de temps puisque je parviens à me saisir de sa lèvre inférieure en un seul mouvement. Ma canine attrape sa lèvre doucement et je la mordille, reculant doucement mes lèvres des siennes alors que mon regard plonge dans le sien et que ma dent ne relâche pas la pression.

 

Je crois qu’il n’a jamais été aussi simple de parler de tout et de rien avec quelqu’un qu’avec Andrew, ça a toujours été comme ça et je pense que ça le sera toujours quoiqu’il puisse se passer dans nos vies. Nous n’avons jamais eu de tabou et encore une fois cela le prouve alors que nous parlons de sexe. Je souris alors qu’il dit qu’il n’y a pas de mal à aimer prendre du plaisir, il n’a pas tort surtout quand c’est avec une personne que l’on aime ou avec qui il y a toujours cet atome crochu. Mon regard sur cet homme que je connais par coeur ou presque par coeur et je l’écoute parler d’Izzy puis des autres femmes, je sais que je n’ai pas voulu vraiment dire qu’il payait pour coucher avec ses femmes sans vertues mais j’ai toujours voulu qu’il soit heureux, j’ai toujours voulu qu’il rencontre la femme qui pourrait être celle qui lui apporte enfin une stabilité. “ouai je sais mais bon tu sais bien sous une envie soudaine ça peut très vite changer.”

Le moment qui suit est intense et tellement étrange pourtant c’est une chose que nous avons déjà fait mais là… je ne sais pas et puis je ne peux nier qu’il y a ce moment de provocation, je m’amuse de la situation tout comme lui et pourtant le fait de le provoquer comme je viens de le faire, je me disais qu’il ne serait pas capable et pourtant je sais qu’il ne faut pas lui lancer de défi, je sais qu’il n’est pas du genre à aller en arrière. Je lui souris et hausse les épaules après ma dernière petite provocation. Mon regard se perd dans le sien et avant que je n’ai pu réagir, ses lèvres se posent sur les miennes, je suis sur le coup surprise mais sentir ses lèvres chaudes contre les miennes me procurent une sensation oubliée. Mes lèvres s’appuient un peu plus contre les siennes avant de sentir la pression s’amenuiser et de le sentir me mordiller la lèvre alors que nos regards ne se quittent pas.

“Hey tu triches” dis-je comme je peux avant de me redresser sur les genoux glissant mes mains autour de son visage et reposant mes lèvres contre les siennes malgré qu’il tient toujours entre ses dents ma lèvre. Sans m’en rendre compte où peut-être que si, au fond, ma langue franchit la barrière de mes lèvres pour venir chercher le contact avec celle d’Andrew sans savoir s’il ne va pas y mettre déjà une fin alors que pour une fois, je n’ai pas envie de penser à ce qui est bien ou mal.

Ma grimace fut la réponse à ses mots puisque je ne suis pas le genre de mec à me taper une pute sous une envie soudaine surtout une pute ! J’ai tout de même une conscience et bien que buté un homme/femme ne me pose pas de soucis ne pas fourrer ma queue n’importe tout est pour moi une question de conscience et de respect pour ma propre personne. Je ne critique et ne juge pas les gens qui s’amuse à perdre leurs pognons pour une petite femme intitulée “MST à vendre”, mais je sais que jamais je n’irais en toucher une comme tout le monde j’ai mes limites et je pense être largement en mesure d’exiger un minimum de saynète.
Je ne prends pas le temps de répondre plus que cette grimace qui je sais à du lui faire comprendre que cela n’est pas mon genre, je ne dis pas que je ramène chez moi que des filles claires, mais ce qui est certain c’est que je ne ramène pas de travailleuse du sexe et je ne lâche pas un cent. Pour être plus exacte la seule chose que ses filles me coutent, c’est un préservatif.

Bien que je ne prenne pas le temps de commenter davantage cette conversation sur les femelles que je me tape ou que je me tape, l’atmosphère présente entre Lyli et moi est étrange et elle a un goût que j’ai déjà connu dans le passé. Celle-ci semble vouloir prolonger cette atmosphère en me défiant de la sorte et n’étant pas le genre d’homme qui passe par quatre chemins, je fonce directement sur mon objectif qui est de l’embrasser pour la mordre. Ce que je ressens au contact de ses lèvres, je le laisse pour le moment de côté tandis que ma dent se saisit comme autrefois de sa lèvre et que mes lippes se décollent des siennes pour que mon regard plonge dans le sien. Elle parle comme elle y parvient puisque je maintiens cette douce pression de dent sur sa lèvre et un râle de rire s’échappe de ma personne à ce qu’elle vient de me dire, je sais qu’elle a été surprise de mon geste, mais elle m’a cherché et si bien avait-elle pu oublier quel genre d’homme je suis maintenant sa mémoire ne peut qu’en être rafraîchie. Celle-ci se met sur les genoux tandis que ses mains se pose de par égal sur mon visage et elle vient d’elle-même coller ses lippes contre les miennes, il ne me faut pas une seconde pour que mes mains se pose sur ses hanches et que je me redresse à mon tour me retrouvant tout comme elle sur les genoux, ma main droite remonte jusqu’au bas de son dos et je la presse contre moi forçant la frontière de ses lèvres avec ma langue.
Une fois que ma langue et la sienne se retrouvent, je commence une danse endiablée qu’elle ne semble pas avoir oubliée malgré les années tandis que ma main lui caresser le bas du dos en gardant cette pression pour qu’elle ne s’échappe pas, pour que je la sente contre mon corp. J’ignore ce qui est en train de se passer en ce moment même, mais la douceur des souvenirs m'enveloppe et le manque que j’ai pu ressentir après l’avoir quittée remonte à la surface et je ressens le besoin de la posséder à nouveau.

Ma main sur son dos glisse doucement sous son haut pour caresser sa peau douce tandis que celle présente sur sa cuisse remonte jusqu’à son coup pour décaler ses cheveux doucement, une fois ses cheveux décaler mes lèvres quittent les siennes pour glisser doucement vers son coup que je parsème de baiser à la fois chaud et doux.